Sophie Martz, « photographe de l’humain », à Saint-André-lez-Lille.

Après une reconversion professionnelle, Sophie Martz a choisi de faire de sa passion un métier et devient donc photographe à son compte en 2016. Basée à Saint-André-lez-Lille, cette artiste aime se définir comme « photographe de l’humain« .

Elle nous en dit un peu plus sur son métier 🎤

Vous aimez bien vous définir comme « photographe de l’humain ». Que voulez-vous dire par là ?

Tout simplement parce que j’aime photographier les personnes telles qu’elles sont et les événements tels qu’ils se passent avant tout. Sans fioritures ni trop d’interprétations. J’aime bien pratiquer la photographie pour ce qui est du souvenir et du reportage.

Et donc je propose différents services de photographie. D’abord, pour l’événementiel dans le monde professionnel : soirées, inaugurations, ouvertures de magasin, pots de départ, etc. Ensuite, de la photo pour le particulier, comme des portraits de famille, des mariages, des anniversaires, des portraits d’animaux aussi, la photographie de grossesse et de naissance… Des portraits de vie en fait ! Et je fais aussi les photos professionnelles, afin de présenter l’entrepreneur et son travail.

Proposez-vous d’autres services à vos clients en dehors des séances photos ?

Oui ! J’aime bien partager ma passion par des ateliers. Donc je propose des ateliers créatifs (Light Painting, stroboscope), ainsi que des cours de photos. J’explique comment photographier, que ce soit en soirée, en extérieur, des portraits, etc. Disons que par ces ateliers, je propose d’apprendre à se servir de son appareil photo. Car c’est top d’avoir un bel appareil, mais c’est mieux de savoir bien s’en servir.

Je propose aussi de confectionner des livres photos pour mes clients, que ce soit des photos prises par moi ou pas. Par exemple, si vous vous avez des photos qui ont juste été imprimées, ou des photos anciennes, ou en argentique, ou encore vous n’avez que les négatifs, je peux les scanner et vous réaliser par la suite un livre photo.

D’où vous est venue cette passion de la photographie ?

Ma passion de la photo, je l’ai depuis que je suis toute petite. En fait, c’est une passion familiale. Déjà mes grands-parents faisaient de la photographie en amateur et ils m’ont transmis leur passion. C’est de famille en fait ! Mes parents aussi ont cette passion.

J’ai donc voulu changer de voie professionnelle il y a quelques années. Et j’ai choisi de m’orienter vers une passion, vers quelque chose qui m’intéressait plus qu’un job alimentaire basique. Avoir un emploi pour avoir un emploi ne me suffisait plus. Du coup, j’ai décidé d’allier le plaisir à l’utile, et je me suis lancée dans la photographie comme professionnelle.

Y a-t-il eu une séance photos qui vous a marquée plus que d’autres dans votre carrière ?

Je ne me suis jamais vraiment posé cette question. Je photographie énormément de personnalités différentes.

Mais oui, il y a un shooting qui m’a marquée. C’était pour une cliente qui voulait faire des photos personnelles vivantes, et également rendre hommage à sa maman décédée. Donc nous avons fait des photos dans la rue, mais également au cimetière, sur la tombe de sa mère. Tout cela avec beaucoup d’humilité et de respect, évidemment. C’est ma marque de fabrique.

Quel est votre réseau social de prédilection ?

Celui que je préfère, c’est Facebook. Et je suis de plus en plus sur Instagram.

Mais après, historiquement, j’ai été et je suis sur beaucoup de réseaux sociaux : Flickr, Twitter, Linkedin, Facebook, Instagram, Tik Tok depuis peu, 500px, et j’en passe. Facebook reste celui qui marche le mieux pour moi aujourd’hui.

Vous vous êtes référencée sur l’application Dailyn. Comment cette plateforme vous aide en tant qu’artiste ?

Dailyn m’aide à avoir une visibilité supplémentaire sur Internet, mais aussi sur Lille et sa Métropole.

Depuis le début de mon activité, je souhaite développer une boutique de vente d’objets « d’art », comme des porte-clés personnalisés, des tirages uniques, etc. Et l’opportunité de cette application s’est présentée !

Image de couverture : ©Valentin Bretel/Sophie Martz